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 DU 21 AU 26 AVRIL NAPLES -Iles EOLIENNES  21 Avril : Nous partons faire le tour de l'île d'Ischia en vélo (40km) avec une montée à plus d 500m. sur le circuit nous partons gravir le plus haut sommet de l'île l'Epoméo (756m) beau panorama. Visite du Casello Aragones et d'Ishia. Deuxième nuit à Casamicciola.  22 avril : Départ pour Naple. Un arrêt au petit port de Chiaidella pour manger tranquille. Impossible d'aller sur Vivara la passerelle est fermée. En route pour Naple nous passons dans la cala di Corricela et son Castello superbe. Nous arrivons dans le port de Sanazarro en fin d'après midi. Délicat de trouver une place mais en s'arrêtant à la pompe à essence et en demandant on finit par trouver. Heureusement l'officier de port de Casamicciola à qui j'avais demandé m'avait donné sa carte et téléphoné ici pour prévenir de mon arrivée. J'avais demandé sa recommandation pour un port à prix raisonnable. Les vélos sont montés en 10 minutes et nous partons vers le centre de Naples par le bord de mer et jusqu'à la gare centrale pour obtenir un maximum de renseignements touristiques.  23 avril : Nous prenons le train pour la gare centrale juste derrière le port puis un train jusqu'à Pompéi. J'objectif étant de randonner dans le Vésuve. A la sortir de la gare on nous propose une bus pour le Vésuve (10 € A/R). Dans le bus on nous vend des billets pour rentrer dans le parc du Vésuve (6€). Cela sent le piège à touristes. Arrivé au parking du Vésuve ou l'on trouve des centaines de voiture et des dizaines de car, ce sont des centaines de touristes et comme nous près à monter sur le cratère. Un seul chemin, il n'y a pas de choix. Quelques beaux points de vue sur la baie de Naples et le cratère sous nos yeux mais pas de fumeroles. Un volcan bien éteint. Le chemin s'arrête devant une cabane à touriste. Impossible d'aller plus loin. Il faut un guide pour atteindre le sommet et sans doute voir une ou deux petites fumeroles. On me propose 55 € ! Déçu nous rebroussons chemin comme tout le monde et retournons à Palerme pour une visite de l'après midi.  24 avril : Même chemin que la veille mais pour visiter Pompéi cette fois-ci. Le site est superbe. On peut y passer la journée surtout avec un audio guide que je pense indispensable (ville de 66ha avec 49 ha dégagés et 12 à visiter). Nous sortons en début d'après midi après un pique-nique sur le site. il fait très chaud. Mal informé nous constatons qu'il n'y a plus de train de banlieue pour Naples. Nous tentons de prendre un bus en vain. Les horaires affichés sont fantaisistes. Finalement avec quelques autres touristes dans le même cas et pour éviter les taxis à l'affût, nous marchons vers une autre gare ou là les trains circulent. A 17 heure nous quittons Palerme pour les ïles Eoliennes (Lipari) pour rejoindre Véronique. Navigation de nuit. Nous passons devant Capri que je n'ai pu visiter ; ce sera pour la prochaine fois.
25 avril journée de cauchemar A l'approche de Salina la houle devient forte, le vent se renforce et deux grains avec rafale à 40 Nd nous poussent à abattre impossible de remonter sur Lipari. Olivier étant malade, la nuit arrivant vite je parts me protéger au Nord Est de Salina. En arrivant il fait déjà nuit. Le vent est toujours au dessus de 35 Nds. Voulant me mouiller pour prendre un peu de repos voilà que le Gps ne s'allume plus. La grosse Tuile. Impossible de mouiller de nuit sans carte. De plus le Pilote étant HS et l'autre inutilisable dans brancher une prise (impossible à faire dans ce conditions), il est difficile pour moi de faire autre chose que tenir la barre. Voilà une situation bien embêtante.  Je fais des tours au moteur le long de la cote en tentant d'apprécier la distance en m'aidant de la seule carte à bord (carte du guide Imray). Dans ce cas le sondeur électronique et un gros projecteur sont des aides précieuses pour éviter la catastrophe. Je suivais la sonde entre 20 et 30m en réflechissant à une solution pour nous sortir de cette situation. Je n'ose pas imaginer que ce sondeur auquel je m'accroche tombe en panne. Olivier reprend la barre ce qui me permet de tenter de trouver une solution. La houle à disparue mais le vent souffle encore en rafale à plus de 30 voir 35 Nds. Je me résous à passer la nuit au moteur avec des quarts pour attendre le jour en longeant la partie de l'île abritée de la houle. C'est là qu'un voilier arrive vers nous et opère un mouillage comme celui que je voulais faire mais qui nécessitait un gps et une carte.  Je prépare immédiatement le mouillage avec empenelage et orin et on part se mouiller en arrière voilier pilote. Le vent est très rafaleux mais cela nous à permis de nous reposer.
Info pratiques et prix : Je me suis aperçu à quel point une solution de rechange pour les cartes marines est indispensable surtout en navigation de nuit. S'il y avait un inventaire des matériels de secours à faire voici quel serait ma liste :
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